Savez-vous que 38 % des pages internet qui existaient en 2013 sont désormais inaccessibles ? Cela représente plus de 250 millions de sites qui ont disparu dans les méandres du web ! Ce phénomène, appelé "dégradation numérique", touche tous les types de sites, des sites gouvernementaux aux réseaux sociaux, en passant par les sites de particuliers. Dans cet article, nous allons explorer les raisons de cette disparition massive de sites web et les conséquences que cela peut avoir pour les individus, les entreprises et les gouvernements. Prêt à plonger dans les profondeurs du web ?
Crédit image : DALL-E
Salut tout le monde ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un phénomène qui touche le monde numérique et qui est loin d'être drôle : la "dégradation numérique". Selon une étude réalisée par le Pew Research Center, 38 % des pages internet qui existaient en 2013 sont désormais inaccessibles. Oui, vous avez bien lu, plus de 250 millions de sites ont disparu dans les méandres du web !
Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, laissez-moi vous donner quelques chiffres pour vous faire comprendre l'ampleur du phénomène. Selon les données du Real Time Statistics Project, le nombre de sites Internet en ligne a été multiplié par dix entre 2008 et 2017, passant de 172 millions à plus d’1,7 milliard. Et oui, en à peine 10 ans, le nombre de sites a explosé !
Mais alors, comment expliquer la disparition de tous ces sites ? Les raisons sont multiples et variées. Tout d'abord, les sites gouvernementaux sont concernés par ce phénomène. En effet, la plupart d'entre eux ont migré vers des adresses sécurisées "https", ont été transformés en documents "statiques" (comme des PDF) ou redirigent désormais vers une nouvelle adresse. Et oui, même les gouvernements ne sont pas à l'abri de la "dégradation numérique" !
Mais ce phénomène ne touche pas que les sites gouvernementaux, les particuliers sont également concernés. En effet, la maintenance d'un site génère des frais qui sont généralement compensés par le trafic. Mais lorsqu'une page cesse d'être visitée, elle perd la raison de son existence et finit par disparaître. Et oui, sur le web, il faut savoir se renouveler pour ne pas sombrer dans l'oubli ! (et là, je sais de quoi je parle !)
Mais le phénomène de la "dégradation numérique" ne s'arrête pas là. Selon une étude du Pew Research Center, 21 % des pages officielles comportent au moins un lien inaccessible. Et oui, même les pages officielles ne sont pas à l'abri des liens morts !
Mais ce n'est pas tout, les réseaux sociaux sont également concernés par ce phénomène. En effet, près d'un cinquième (18 %) des tweets publiés dans le cadre de l’étude du Pew ont disparu en à peine quelques mois. Et oui, même sur les réseaux sociaux, il faut savoir être réactif pour ne pas disparaître !
Enfin, dernier exemple et non des moindres, Wikipedia. Selon une étude, plus de la moitié (54 %) des références renvoient vers des pages qui n’existent désormais plus. Et oui, même la célèbre encyclopédie en ligne n'est pas à l'abri de la "dégradation numérique" !
Alors, que faire pour lutter contre ce phénomène ? Tout d'abord, il est important de bien référencer ses pages et de vérifier régulièrement les liens pour éviter les liens morts. Ensuite, il est important de mettre à jour régulièrement son site pour maintenir l'intérêt des visiteurs. Enfin, il est important de sauvegarder régulièrement son site pour éviter de tout perdre en cas de problème.
Voilà, vous savez tout sur la "dégradation numérique". Alors, n'oubliez pas de bien entretenir votre site et de sauvegarder régulièrement vos données pour éviter de disparaître dans les méandres du web !
Sources multiples :
Pew Research
Real Time Statistics Project
Le Grand Continent
Publié le 31 Mai 2024 par Technifree
Le billet d'humeur de Kat ! - Par Katryne.
Journaux et smartphone - crédit photo : Racool-Studio
Les nouvelles viennent en foule, beaucoup à la fois et de partout, elles viennent nous abrutir d'une cacophonie permanente où plus rien n'est hiérarchisé, plus rien ne fait sens. A côté des grands pourvoyeurs historiques d'actualités, (presse papier, audio-visuelle et leurs avatars multimédia) et des nouveaux acteurs professionnels tout numériques, chacun peut aujourd'hui y aller de sa petite news : un petit coup de blog, un joli tweet, un bon post Facebook bien envoyé, et toc ... un commentaire sur un forum, et des milliards de terriens deviennent producteurs de contenu. On ne lit plus que les titres et à peine : on partage.
Les grands comme les petits s'adonnent à cette passion toxique, sans peser l'importance de l'info, dans juger de sa pertinence. La quantité prime sur la qualité, dans l'objectif de ce nouveau capitalisme où la réputation se cote et se rémunère. Il n'importe pas d'être un expert, mais de faire un max de bruit et d'avoir un max de fans. C'est ça qui paye.
Comment surnager dans cette mer de (en 2 mots) nouvelles qui nous submergent
Quand un article de notre génial et satirique Gorafi peut être repris à l'identique dans les médias du monde entier qui se copient tous les uns sur les autres, sans honte et sans vergogne, comment les vrais consommateurs de pure info peuvent-ils trouver leur petits dans ce foutoir grouillant et bavard ?
Mais je ne suis pas sectaire et comprendrai que vous préfériez les flux ATOM.
C'est quoi ces trucs ? Oh, ce sont des formats de communication qui datent de l'an 2000, de belles antiquités à l'échelle de l'Internet. Et qui fonctionnent encore très bien.
Vous arrive-t-il encore parfois de voir dans la barre de votre navigateur une petite icône qui ressemble à ça ?
Cela signifie que le site que vous lisez propose ses actualités sous un format que vous pourrez lire ailleurs, dans un logiciel dédié, ou dans votre Thunderbird ou dans une section de votre navigateur. Cette liste d'actualités est mise à jour en temps réel ou selon un rythme que vous spécifiez. Et surtout tous ces flux RSS ou ATOM peuvent être assemblés, classés, au même endroit que les autres pour que vous puissiez vous constituer votre journal à vous, dont vous aurez choisi les sources, qui sera toujours à jour et dont vous pourrez aussi archiver les items ou les jeter à la poubelle. Ou même encore les commenter et les partager, si c'est votre truc, après tout. Puisque je vous dis que je ne suis pas sectaire.
Un clic sur l'icône et votre navigateur vous affiche une page avec les nouveautés du site telle que celle-là : Un beau jour... . Assez brute de décoffrage, il faut avouer. Mais tout y est avec les liens et les images s'il y en a. Certes comme ça, ce n'est pas très engageant, même si l'on recherche de l'info pure et dure sans chichi. Mais ce n'est pas destiné à être consommé tel que : on peut ajouter les flux à un lecteur. Le père de tous les lecteurs, à mon sens, c'était Google Reader. Un concentré d'efficacité, de fonctionnalité et d'ergonomie. Qui a disparu comme bien des merveilles de Google.
Car ce sont bien toutes ces Googleries au fil des ans qui nous ont guidés dans le monde mystérieux de l'internet, nous y ont appris à nous déplacer, échanger par mail, rechercher l'info, la gérer et en tirer profit.
Je ne dis pas là que Google serait un généreux philanthrope, puisque l'on devait bien troquer ces prodigieux services contre nos données persos ou notre attention pour ses pubs juteuses. Je dis que Google a popularisé l'Internet, l'a rendu plus aisé, plus accessible. Et si aujourd'hui Google passe au payant et nous laisse orphelins sur le bord du trottoir, ce n'est pas lui qui a trahi, c'est nous qui avons rompu le contrat avec les antipubs de nos navigateurs et nos législations protectrices des données personnelles. Notons que l'internaute basique n'avait jamais exercé réellement son libre arbitre dans cette histoire, ni dans la signature d'un contrat obscur, ni quand les législateurs on décidé pour lui ce qui est le mieux pour lui.
Donc, à l'époque où Google me tenait par la main dans mes vagabondages en pays d'Internet, j'avais le choix, pour étancher ma soif d'infos, entre le Google Reader et les Google Actualités. Les Actus me gavaient d'infos sélectionnées, prémachées, calibrées et adaptées à mon profil tel que défini par Mr Google, me laissant peu de marge de personnalisation. Et depuis 2005, le Reader de RSS produisait de l'info brute, intégrale, sans commentaire, exclusivement à partir de flux que j'avais choisis. Et que je pouvais classer, archiver, partager etc Vous avez déduit finement quel service avait ma préférence. Aussi quand Google Reader a disparu des écrans le 1er juillet 2013, je suis restée de nombreux mois à errer comme une âme en peine, à tester, à m'enquérir et à grincher sur les forums. Quand soudain de Framanews la lumière vint. Certes Framasoft avait prévu que son lancement coïnciderait avec la mort de Google Reader. Mais je ne l'ai pas vu sur le coup ou je n'ai pas su obtenir un compte de suite. Et ensuite ce fut le bonheur : je consultais mon compte Framanews depuis l'ordinateur ou le téléphone, exclusivement à partir de sources que j'ai sélectionnées, sans publicité et sans collecte de mes données personnelles. Et j'utilisais une solution LIBRE !
Mais j'ai pu faire plus fort encore. Plutôt que de dépendre encore d'une entité extérieure, fut-elle libre et généreuse, j'ai voulu installer sur mon hébergement une instance de TT-RSS, le logiciel lecteur de RSS utilisé pour Framanews. J'ai hésité quelques temps à passer le Rubicon pour cette histoire-là, parce que la présentation et le mode d'emploi, tout en Anglais, regorgeait de termes techniques, dans une expression volontairement hermétique destinée de toute évidence à décourager les béotiens. Avec toutes les 2 lignes un avertissement méprisant sur le thème : si vous n'avez aucune notion de ce qu'est le [$!*§#&], passez votre chemin, vous êtes trop nuls. Comme le ton et l'arrogance me déplaisaient fortement, j'ai voulu essayer par esprit de contradiction et j'ai réussi à l'installer ce fichu TT-RSS, non pas sur un serveur dédié, non pas en lançant des tâches CRON en ligne de commande, mais avec la technique imparable (ou impayable) à la Kat : par itération, en appuyant sur tous les boutons sans trop comprendre jusqu'à ce que ça passe. Et ça marche ! Faut-il qu'il soit bien foutu, ce logiciel.
Fin 2018, Firefox a supprimé le lecteur intégré de flux RSS (et la possibilité de s'y abonner facilement), ainsi que les marque-pages dynamiques. Ce qui coïncida justement et étrangement fort à propos avec une promotion appuyée de son service externe de marque pages Pocket. Il faudra alors s'en remettre probablement à des web-extensions pour le service des RSS qui jusqu'à présent était assuré en natif. Ça ne vous rappelle rien, ces services intégrés qui disparaissent juste au même moment que la mise en avant de services externes un peu gratuits mais c'est beaucoup mieux en version premium ? Depuis 2015, Pocket, ce service propriétaire racheté par la fondation Mozilla, est intégré par défaut à Firefox. On peut le désactiver, mais pas le désinstaller.
Au bout de quelques années, mon TT-RSS est devenu capricieux, et je n'ai pas eu les capacités techniques de le maintenir. J'ai cherché une solution de rechange. Alors je sais bien que Thunderbird propose un lecteur de flux sur le même modèle que son collecteur de mail, mais c'est pas pareil.
La solution que j'ai adoptée est une extension pour Firefox, mais aussi pour Chrome, Vivaldi, Brave et Edge. (Pas pour mon Firefox d'Android, hélas).
Feedbro me semble quasi parfait, me manque juste le partage vers mes Shaarli. Les modes de partage que Feedbro propose, outre l'email, ne passent que par les réseaux sociaux, et j'y suis allergique.
Technifree vu dans Feedbro
Le 25 mai 2018, entre en vigueur, le règlement européen sur la protection des données personnelles. Voté par le parlement européen le 14 avril 2016, le règlement n°2016/679 s'applique d'autorité dans l'ensemble des 28 pays de l'Union européenne sans que chaque état n'ait à l'adopter. Les objectifs du règlement sont d'accroître la protection des personnes concernées par le traitement des données personnelles et de responsabiliser les acteurs de ce traitement.
Qu'est-ce que ça nous apporte en tant qu'individus ? Et en quoi devrait-il s'appliquer à nos petits sites amateurs ou associatifs ?
Que faut-il faire ? ce n'est pas encore bien clairement expliqué, mais il n'y a plus trop de temps maintenant.
Google, Microsoft et les autres, mettent à jour leurs conditions générales d'utilisation et en profitent pour nous extorquer des acceptations exprès et détaillées pour un paquet d'utilisations de nos données dont on ne soupçonnait même pas l'existence. Avec chaque fois, comme pour la mise à jour de Windows la semaine passée, un bel argumentaire plus marketing que juridique pour détailler tout ce qu'on loupe en refusant, le tout relevant parfois du chantage : tu acceptes expressément ou ton compte est supprimé. "Voulez-vous vraiment les refuser? Vous ne serez plus en mesure d'utiliser le site web et les applications pour tablettes ou mobiles d'Airbnb si vous refusez les conditions actualisées." Voilà pour le consentement libre et éclairé. Notons que fin avril-début mai, Google a supprimé son slogan de 18 ans "Don't be evil" (ne soyez pas maléfique) du code de conduite distribué aux employés. Tirez-en les conclusions que vous voulez.
Selon Le Hollandais Volant , "Ça y est : des dizaines de sites bloquent les utilisateurs européens car l'UE veut protéger nos données mais les sites refusent de se bouger pour nous."
C'est la première conséquence de la future applicabilité du règlement européen sur la protection des données personnelles : le bannissement des internautes Européens. Le même effet qu'une censure.
Il y en a même qui en font du business pour aider les sociétés à bannir les internautes européens. L'article qualifie d'infâme le RGPD.
Certaines entreprises se détourneraient déjà du marché européen. https://www.bleepingcomputer.com/news/security/new-service-blocks-eu-users-so-companies-can-save-thousands-on-gdpr-compliance/
Et pendant ce temps, le 23 mars dernier, le congrès américain a voté en procédure accélérée le Cloud Act qui renforce l'ingérence des autorités américaines sur les opérateurs de cloud américains et s'oppose donc frontalement au RGPD qui interdit dans son article 48 les transferts ou divulgations de données hors de l'UE. Le Cloud Act :
Rappelons l'article 25 du RGPD : imposer aux organisations la protection des données personnelles dès la conception des produits, services et systèmes et la sécurisation par défaut du système d’information, c'est là où les webmestres utilisateurs de CMS demandent des adaptations aux codeurs. Pour les CMS que j'utilise, ça carbure un peu et les webmestres utilisateurs européens sont plus exigeants que les autres, demandant un pack de conformité au RGPD prêt à installer. Mais les codeurs du monde du logiciel libre ne disposent pas de l'armada de juristes des acteurs commerciaux du secteur et tardent à fournir une solution complète.
Quelle solution, d'ailleurs ? Nous ne collectons pas grand chose : il y a bien la pose des cookies pour le bon fonctionnement, la collecte de quelques infos au moment de l'inscription membre ou info-lettre.
Sûr qu'en cas d'utilisation de services externes (partage, cartes, pub, stats de visites ...) ça pose aussi des cookies et ça collecte des données et dès le 25 mai, ce sera au webmestre de demander le consentement (pour les cookies et l'utilisation des données perso) aux visiteurs pour chacun des services externes présents sur le site. Ça va refroidir un peu ceux qui ont l'habitude de parsemer leur site d'icônes de partage social, de cartes Google, de pubs Adsense et même de vidéos YouTube.
Donc, j'ai bien cherché, lu et relu sur le RGPD, puis digéré les commentaires, y compris l'intégralité de ce qu'en dit la CNIL. Et la somme de tout cela, c'est RIEN. Du moins pour les sites web de particuliers.
De tout ce fatras de littérature sur le sujet, il transparaît que ce règlement européen ne s'applique qu'aux professionnels et aux grosses associations. Et comme la CNIL en France, telle ses équivalents dans les autres pays de l'UE, est dessaisie de toutes ses attributions, que les déclarations de sites web sont supprimées, il ne resterait comme obligation pour les sites web non professionnels que la gestion des cookies, pour se mettre en conformité avec la législation. Mais ça ne concerne pas le RGPD. Et encore, si ces cookies ne servent qu'à assurer le bon fonctionnement du service fourni par le site, il n'y a pas de consentement à obtenir, juste une information que des cookies sont installés sur l'appareil de l'internaute et qu'il peut les détruire comme indiqué dans le mode d'emploi de son navigateur. En matière de cookie, l'enregistrement d'un consentement ne concernerait que des sites qui utilisent les infos collectées à des fins de marketing ou de profilage.
Pour le site de généalogie, j'ai ajouté dans le footer que si une personne trouve son nom sur le site, elle peut demander à ce qu'il soit effacé par le formulaire de contact. Mais l'obligation existait bien avant le RGPD.
Selon le RGPD, le listage des logs fait l'objet d'une exception au consentement exprès, du moment que cette collecte est réalisée pour des raisons de sécurité et dans une optique d'identification en cas de pratiques illégales de certains internautes. Toutefois, il convient :
Sur le site de la CNIL, dont la seule fonction désormais semble être l'assistance à la mise en application du RGPD, il n'existe que 2 catégories de public :
Entre les deux, il n'y a personne. Les petit sites de particuliers ou d'association n'existent pas.
Le responsable des sites d'un ministère rejoint mon analyse quand je l'interroge sur les implications du RGPD sur notre site d'association :
"Tout ce que vous risqueriez, dans le pire des cas, c'est un rappel à l'ordre de la part de la CNIL, qui vous expliquerait alors où vous pêchez. Et encore, il faudrait au préalable qu'une plainte soit déposée par un membre du site."
Ce qui importe :
Mais comme nous le martèle Rick Falkvinge, militant des libertés numériques et fondateur du Parti Pirate suédois : La vie privée demeure de votre responsabilité. Depuis janvier, Framasoft traduit sur son blog les 21 billets de sa réflexion : 21 degrés de liberté. "Dans une série de 21 articles sur ce blog nous examinerons comment le droit à la vie privée, une liberté fondamentale, a complètement disparu quand on est passé à l’ère numérique. Sa dégradation n’est rien moins que catastrophique. Nous aborderons toute une série de domaines dans lesquels la vie privée a tout simplement disparu avec la transition vers le numérique, et où cela nous mène. Pour chacune de ces thématiques, nous examinerons la position des différentes juridictions et les tendances qui se dessinent. La motivation principale est claire — il n’est absolument pas déraisonnable de penser que nos enfants devraient avoir au moins les mêmes libertés fondamentales individuelles que celles dont jouissaient nos parents, et aujourd’hui ce n’est pas le cas. Pas du tout."
Voir là : https://framablog.org/2018/01/15/21-degres-de-liberte-01/
à lire aussi : Les textes officiels sur le site de la CNIL
Source(s) : Wikipedia, Le Hollandais Volant, BleepingComputer, Les Echos